QUEL PLAISIR DE PARLER IMMOBILIER DANS LES DINERS
Quel plaisir de parler immobilier dans les dîners en ville ces temps ci. Chacun y va de son anecdote sur la crise immobilière « Mais en province ils rayent carrément les prix des annonces » . « Moi je me dis que dans quelques années on va pouvoir acheter » . Et quand on évoque Dubaï et son immobilier, ce n’est plus aujourd’hui le symbole du dynamisme économique, mais c’est un royaume construit sur du sable que chacun dénonce.
A la recherche de nouvelle fraîches sur ce « nouvel eldorado » ( spéciale dédicace aux journalistes de Capital sur M6), on tombe sur un article de Courrier international qui laisse présager de grands moments de rire dans le futur.
Les choses vont mal tourner pour « investisseurs de Dubaï » ( extrait de l’article) :
- depuis le 5 octobre, la Bourse de Dubaï a perdu un quart de sa valeur, à cause notamment de la dégringolade des valeurs immobilières]
- la confiance des investisseurs a été entamée par une longue succession de scandales dans le monde des affaires, compromettant les rêves de Dubaï de devenir la capitale financière de la région.
- Jusqu'à récemment, le volume de crédit augmentait à Dubaï de 49 % par an un taux presque deux fois supérieur à la croissance des dépôts de la banque.
-Les spéculateurs ont souvent emprunté pour payer 10 % du prix d'un immeuble qui n'avait pas encore été construit, dans le seul but de le revendre.
Réservez votre soirée dans quelques mois vous aurez droit à un reportage plein de chantier abandonné, de villa de luxe à vendre une bouché de pain, de grande avenue vide, d’ex magnat de l’immo en prison, de dénonciation d’une ville construite avec l’argent sale.
Symbole absolu de cette aberration qu’est Dudaï, en plein tempête financière s’ouvrait, il y a quelques jours, le plus grand centre commercial du monde… Au milieu du désert, dans un pays régit par la charia. What the fuck !
hum, j'aime le krach
A la recherche de nouvelle fraîches sur ce « nouvel eldorado » ( spéciale dédicace aux journalistes de Capital sur M6), on tombe sur un article de Courrier international qui laisse présager de grands moments de rire dans le futur.
Le message de cet pub immo est clair : grace à l'agent gagné avec vos prostitués ( premier plan) les mac Russe (pantalon blanc) peuvent donner leur argent à Donald Trump.
Les choses vont mal tourner pour « investisseurs de Dubaï » ( extrait de l’article) :
- depuis le 5 octobre, la Bourse de Dubaï a perdu un quart de sa valeur, à cause notamment de la dégringolade des valeurs immobilières]
- la confiance des investisseurs a été entamée par une longue succession de scandales dans le monde des affaires, compromettant les rêves de Dubaï de devenir la capitale financière de la région.
- Jusqu'à récemment, le volume de crédit augmentait à Dubaï de 49 % par an un taux presque deux fois supérieur à la croissance des dépôts de la banque.
-Les spéculateurs ont souvent emprunté pour payer 10 % du prix d'un immeuble qui n'avait pas encore été construit, dans le seul but de le revendre.
Réservez votre soirée dans quelques mois vous aurez droit à un reportage plein de chantier abandonné, de villa de luxe à vendre une bouché de pain, de grande avenue vide, d’ex magnat de l’immo en prison, de dénonciation d’une ville construite avec l’argent sale.
Symbole absolu de cette aberration qu’est Dudaï, en plein tempête financière s’ouvrait, il y a quelques jours, le plus grand centre commercial du monde… Au milieu du désert, dans un pays régit par la charia. What the fuck !
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