USA : LE GRAND KRACH IMMO TAPE A LA PORTE
Le krach immobilier a déjà commencé aux States of the USA. Ce n’est pas notre avis mais celui du magazine Fortune (des gens sérieux). Cet article est une révolution car il ne parle non plus d’un baisse possible, mais d’une baisse réelle là aujourd’hui maintenant : boum
Le début de l’article ressemble à un post de la bulle immobilière puisqu’il indique que les informations qui suivent sur l’éclatement de la bulle immobilière ne peuvent pas être trouvé dans les statistiques officielle (de la FNAIM locale ?)
« You won't find that news in broad national statistics or the upbeat comments from the real estate industry. The latest official figures, for example, show both new and existing home sales rising in March, a mixed bag on prices - and a record number of new homes on the market. »
Mais Fortune affirme que son enquête de terrain mené par de vrais journalistes (et pas des mec qui font des ctrl « C » ctrl « V » avec les communiqués) montre que la les prix sont déjà en chute dans certaine région, que les vente ne se concluent plus.
« But FORTUNE's on-the-ground reporting - in what up to now have been some of the nation's hottest areas - paints a very different picture: Contracts are being canceled, deals are drying up, prices are starting to drop. »
Les Etats Unis c’est pour eux dans plusieurs régions spécifiques que les prix sont en train de smurfer : Boston, Washington, Miami and San Diego, Phoenix, Las Vegas and Sacramento.
« But things are suddenly looking very chilly indeed in four coastal cities - Boston, Washington, Miami and San Diego - as well as three Western boomtowns: Phoenix, Las Vegas and Sacramento. So far this year, monthly sales have fallen 11 percent to 25 percent in Miami, Boston, northern Virginia and San Diego, according to local housing experts. »
L’article envisage ensuite différents scénarios, dispense quelques conseils et analyse les zones les plus et les moins dangereuses.
A l’heure ou certains un peu las qu’on leur prédisent des lendemains qui baissent et ne semblent plus y croire, cet article dit : ne vous laisser pas gagner par la déprime. Ce serait vraiment con de se dire aujourd’hui : « la bulle immobilière, j’y crois plus, les prix ne vont pas descendre aller j’achète maintenant la en mai 2006. » La citation exacte m’échappe mais elle rappelle que « c’est le propre des bulle spéculative de perdurer toujours au delà de toutes le prévisions » ou quelques chose comme ça.
Hum, j’aime le krach