EXPLOSION IMMOBILIERE

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Comme certains ont pu le constater depuis des mois, le nombre d’annonces vente et de location sur le site se loger ne cesse de croître.

 

A titre d’exemple quels chiffres récupérés sur le forum de Boursorama :

 

10 Mars 2005 : locations : 41 089 ventes : 212 329
11 Mars 2005 : locations : 42 304 ventes : 213 253 annonces
12 Mars 2005 matin : locations : 42 490 Ventes : 213 412
12 Mars 2005 soir : Locations : 42 490 Ventes : 213 447
14 Mars 2005 matin : Locations : 42 455 Ventes : 213 476
14 Mars 2005 soir : Locations : 42 888 Ventes : 213 387
16 Mars matin : Locations: 43 140 Ventes : 214 401
17 Mars matin : Locations : 43 660 ventes : 215 140
17 Mars soir : Locations : 43725 ventes : 216 790
18 Mars soir : locations : 43 735 ventes : 216 780
19 Mars midi : mêmes chiffres que la veille
1 er avril : locations : 44.620 ventes : 219.810 annonces
5 Avril : locations : 44 723 ventes : 221 811
14 Avril 2005 : Locations 70 443 Ventes 254 617

 

 

Certains y voient la preuve que l’explosion des prix fait augmenter chaque jour le nombre d’invendus parce que plus personne n’achète à  ce prix là.  D’autres affirment que c’est seulement parce que les vendeurs oublient de retirer leurs annonces et que les biens continuent à partir comme des petits pains tout chaud (hum). Intrigué j’ai contacté le responsable du site. Je lui ai envoyé un mail dans lequel j’évoquais les deux explications.

 

Ils en ont une troisième : voici la copie du mail reçut

 

 

 

Il suffisait d’y penser. A la fois, je n’ai pas envie de commenter, j’aime trop cette réponse.

 

 

Hum j’aime le krach

Publié dans jaimelekrach

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T
Certes le Krach Immo et pour bientot. Sitot que la BCE commencera a relever ses taux le prix des biens sera moins chers. Est ce a dire pour autant que le bien en question NOUS coutera moins cher. Par certain a y regarder de plus pret. En effet Cout Total du Bien=(Prix du Bien + Cout du Credit). Or si Prix du bien baisse et cout du Credit augmente alors le cout total n a pas bouge. En resume on sortira toujours autant d argent de notre poche mais c est le banquier qui en prendra davantage et le proprio un peu moins. Sauf si les prix s effondrent sans que les taux augmentent.Faut pas rever non plus.<br /> La solution emprunter maintenant et acheter dans 3 ans.
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K
j'aime beaucoup l'histoire des deux suisses.<br /> <br /> Quand à Se loger, je pense honnêtement que en effet beaucoup de facteurs jouent (dont celui des annonces périmés). Mais des annonces périmé, il y en a toujours eu et ça augmente
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H
Si vous souhaitez vous installer à Lausanne, c’est le moment. C'est période de soldes…<br /> <br /> http://www.24heures.ch/vqhome/edition/ls/moudon_a_vendre_230405.html<br /> <br /> -----------<br /> <br /> 24 H - LOGEMENT<br /> Une centaine d’appartements propriétés d’une seule famille seront mis aux enchères au mois de mai.<br /> Sylvain Muller<br /> Publié le 23 avril 2005<br /> <br /> Durant des années, Ginette et Willy Rothen ont acheté des appartements pour «donner du travail à leurs employés». La crise des années 1990 a fait plonger les loyers, et la Banque Cantonale Vaudoise (BCV) veut désormais récupérer les 20 millions qu'elle a investis.<br /> <br /> Les avis publiés jeudi en nos colonnes par l'Office des poursuites et faillites de l'arrondissement de Moudon-Oron ne sont pas passés inaperçus. Sur deux pleines pages s'étalaient une centaine d'appartements et de terrains, mis aux enchères les 11 et 12 mai prochains. Derrière cette vente historique se cache l'incroyable histoire d'un couple de retraités moudonnois: Ginette et Willy Rothen.<br /> <br /> «Nous sommes venus à Moudon en 1959, parce que mon mari y avait trouvé du travail», se souvient Ginette Rothen. «En 1966, Willy s'est mis à son compte en ouvrant une entreprise d'électricité, chauffage et sanitaire. Comme nous ne pouvions pas travailler chez les clients en hiver, nous avons acheté deux vieilles maisons, que nous avons transformées pour donner du travail à nos ouvriers.» Ce premier achat donne alors le coup d'envoi d'un processus qui conduira les Rothen à posséder aujourd'hui plus de cent appartements disséminés dans la ville de Moudon, et à devoir plus de vingt millions de francs à la BCV. Des maisons à rénover, l'entrepreneur moudonnois passe bientôt aux projets immobiliers en achetant des terrains. «Mais notre souci n'a jamais été de revendre ou de spéculer. Nous voulions juste trouver du travail», précise Willy Rothen.<br /> <br /> Alors que les investissements de l'entrepreneur moudonnois commencent à faire jaser, la région est durement touchée par la crise économique du début des années 1990. «Moudon s'est vidé, plusieurs entreprises ont fait faillite et nous nous sommes retrouvés avec plusieurs appartements vides. J'ai demandé conseil à la banque, qui m'a dit de baisser les loyers à tout prix pour remplir les appartements, se souvient Willy Rothen. Nous avons finalement trouvé un arrangement, dans lequel la banque se contentait d'encaisser les loyers. Mais comme cette somme était supérieure aux intérêts des hypothèques, la BCV a procédé à des amortissements, sur lesquels nous avons dû payer des impôts alors que nous ne touchions plus les loyers!»<br /> <br /> Fatalisme autoroutier<br /> <br /> «Nous avons été floués, s'emporte Ginette Rothen. Nous avons travaillé durant des années, nous avons payé nos intérêts durant plus de trente ans sans un jour de retard, et tout d'un coup on nous double nos intérêts sous prétexte que nous sommes des clients à risques. Et tout ça en recevant des lettres anonymes parce que les gens pensaient que nous étions millionnaires!» La révolte de Ginette Rothen ne semble pas se retrouver chez son mari. <br /> <br /> «Que voulez-vous que j'y change, à 77 ans? La seule cause de tout cela, c'est que l'autoroute n'a pas été construite jusqu'à Moudon». «Et que les banques nous lançaient l'argent à la tête, ajoute son épouse très remontée. Pensez, alors que ça commençait à mal aller et que je disais à mon mari d'arrêter, il a encore eu cinq propositions pour obtenir un prêt supplémentaire de 6,5 millions. Enfin! On a commencé sans rien, on finira sans rien!» <br /> © Edipresse Publications SA, tous droits de reproduction et de diffusion reservés.<br /> <br />
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T
un lapsus s'est glissé dans ma remarque précédente. c'est "2 mois et demi de travaux", il manquait le 2.
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T
la réponse de seloger est bien triste et manque franchement d'objectivité. Car je ne pense pas que le nombre de clients professionnels augmentent mais plutot que les agences ne retirent pas leurs mandats périmés. Et il m'est arrivé une mésaventure récemment. Je passe sur seloger pour chercher pour un client un restaurant, et là, j'appelle l'agence. Elle me donne l'adresse du restaurant à vendre. Je vais à l'adresse. ET là, grande surprise, le nouveau propriétaire vient d'ouvrir son restaurant, après mois et demi de travaux. Conclusion, l'agence n'avait pas suivi l'annonce et pourtant elle apparaisait régulièrement sur le site comme mise à jour quotidiennement. D'ailleurs elle y est encore, et ça fait jours que j'ai prévenu l'agence que l'annonce n'est plus d'actualité.<br /> <br /> PS: je n'ai pas une agence immobilière, mais je fais de l'intermédiation entre particuliers dans les fonds de commerces.<br /> <br /> Tom.
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